◼️ La mort de Balou rappelle l’extrême fragilité de la population d’ours des Pyrénées et remet le Gouvernement devant ses responsabilités

La disparition de Balou rappelle la précarité extrême de l’espèce dans les Pyrénées, dont le risque d’extinction est 4 fois supérieur au maximum admis pour la considérer comme viable !

Balou, lâché à Arbas le 2 juin 2006, était le seul mâle susceptible d’apporter un peu du sang neuf nécessaire au maintien de la population d’ours des Pyrénées.

Sa disparition rappelle la précarité extrême de l’espèce dans les Pyrénées, dont le risque d’extinction est 4 fois supérieur au maximum admis pour la considérer comme viable !

Bien sûr, il est aujourd’hui essentiel de déterminer les circonstances et raisons de la mort de cet ours, mais aussi d’en tirer les leçons : la France n’a plus de politique de conservation de l’ours depuis 4 ans, et la gestion  » petit bras « , au jour le jour, des seuls individus présents est loin de répondre à l’enjeu de la restauration de cette espèce emblématique de notre patrimoine naturel.

Le Gouvernement est une nouvelle fois devant ses responsabilités.

Nous l’appelons à avoir le courage de s’affranchir du lobby des opposants, bruyant mais minoritaire, et d’enfin donner la priorité à l’intérêt général en adoptant, comme l’a promis Philippe Martin en décembre dernier, un plan de restauration sérieux et ambitieux.

Ensemble, sauvons l’ours dans les Pyrénées !

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